Maxime Prévot candidat à la succession de Benoît Lutgen à la tête du cdH
Annoncée mardi soir, la décision de Benoît Lutgen est "éminemment personnelle", a assuré Maxime Prévot. "Qui connaît Benoît sait qu'il n'est pas de ceux qui se laisse dicter une conduite. Il passe le relais sereinement, sans y être contraint ou forcé, afin de laisser à son successeur les rênes d'un parti en ordre de marche en vue des élections de mai prochain", a-t-il ajouté.
"Faisons de cette séquence un moment enthousiasmant, une occasion de mobiliser nos militants", a poursuivi Maxime Prévot qui, s'il est élu à la présidence du parti, n'en abandonnera pas pour autant son écharpe maïorale. "J'ai déjà dit que, le cas échéant, je ne rempilerai pas dans une fonction ministérielle. Par contre, les postes de bourgmestre et de président de parti sont compatibles", a-t-il insisté à ce sujet.