«Koh-Lanta: Le feu sacré»: voici les points forts et les points faibles des Belges

Après un an d’absence à l’écran, l’émission Koh-Lanta fait son grand retour ce mardi 21 février sur TF1. Dans une interview ils ont dévoilé comment ils se sont préparés à l’aventure.

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Koh-Lanta revient sur TF1 ce mardi 21 février. Au casting on y retrouve trois Belges: Elodie (35 ans), Helena (27 ans) et Emin (56 ans). Dans une interview accordée à Moustique, ils ont expliqué quels étaient leurs points forts et leurs points faibles.

Les points forts

Pour Elodie, responsable marketing pour une entreprise de jeux de société, c’est l’aspect relationnel de par son métier qui lui a été bénéfique durant l’aventure: «Je pense pouvoir analyser les différentes situations». Helena, quant à elle, estime qu’elle est partie «avec un avantage au niveau sportif (…)», mais que sa force mentale et de caractère a également été des excellents atouts «puisque j’ai toujours fait des compétitions avec des hauts et des bas», confie-t-elle à nos confrères.

Emin a, lui, expliqué qu’il s’était entraîné pour participer à la nouvelle saison de Koh-Lanta, afin de mettre toutes ses chances de son côté: «Sportivement, je ne suis pas mauvais. Je me suis entraîné pendant plusieurs années pour avoir une bonne condition physique. Pour l’équilibre, j’ai une slackline dans mon jardin. J’ai travaillé la natation et mon apnée, même si ici, j’ai de bonnes capacités depuis tout petit. Je me suis entraîné au tir à l’arc, à faire du feu et même à l’épreuve des poteaux. Ce serait bête d’arriver à la fin et de bloquer sur les poteaux! Bref, j’ai préparé toutes les activités que l’on trouve sur «Koh-Lanta».

Les points faibles

Pour participer à l’aventure, présentée par Denis Brognart, il faut s’accrocher et être solide mentalement. Pour Elodie c’est le mental qui lui a parfois joué des tours dans l’aventure. En effet, elle explique qu’elle à du mal à «gérer mes émotions, parce que je peux passer du rire aux larmes en deux secondes».

Helena, kinésithérapeute, a dû s’accrocher à passer du temps loin de sa famille dont elle est très proche. Elle ajoute: «Je donne vite ma confiance donc c’est clair que de base, je savais que j’étais quelqu’un de plutôt naïf. Je ne perçois pas les choses, et c’est mon plus gros point faible».

Du haut de ces 56 ans Emin, directeur général opérationnel de Brussels Expo, estime que ses «capacités physiques ne sont pas les mêmes que celles d’un sportif de haut-niveau de 25 ans», ce qui a joué en sa défaveur. Il ajoute aussi que son caractère bien trempé pouvait lui jouer des tours: «Il y a le fait que je sois assez autoritaire, donc il fallait que je travaille là-dessus pour éviter que cela me desserve».

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